BIOGRAPHIE

Puisque Sylvie WISNIESWSKI a mis son coeur a nu et aussi ses pensées, autant dévoiler ce que ses ouvrages ne vous diront pas d'elle. Sylvie, ravissante jeune femme, a vu le jour un premier février et elle dut être frappée par le manteau de froidure, chanté par les poêtes à l'aube de notre langue. C'est à l'âge de onze ans que cette jeune stéphanoise s'est découverte une âme de poétesse en écrivant ESPOIR, récompensé par un Prix de la jeunesse. Ce fut le début d'une longue série de récompenses obtenues en différents coins de France (il est permis de parier très fort qu'elle figurera dans d'autres palmarès).Son livre "L'écho de ma lyre"est un bel aveu, avec infiniment de talent, de gourmandises sensuelles.

C'est un cocktail de tendresse, d'amour, d'élans naturels, sous le couvert du voile de la pudeur.

Serge Granjon écrit dans la préface : ouvrir ce livre c'est goûter l'antique mélopée d'une poésie vraie, en des temps où les fibres du coeur se pinçaient comme les cordes d'un lyre. S'échappe d'abord à travers les rideaux d'alcôve une rythmique ondoyante de caresses, de spasmes et d'étreintes jusqu'à colorer la brise qui passe d'un parfum de sensualité. On ne peut mieux dire pour définir ce recueil souvent coquin jamais grivois joliment illustré par Nathalie PIERRON.

Son CD "Déclarations", petit bijou de poésie sur fond de morceaux musicaux, sublime l'amour à fleur de mots. Elle laisse exprimer son coeur romantique, elle évoque le délicieux plaisir, et elle chante le lierre : "comme lui embrassons-nous". Si elle"rêve de passions sauvages", si sa "plume s'envole avec les battements de son coeur", c'est que cette jeune femme a un coeur de feu. Elle manifeste aussi ses sentiments pour stigmatiser les injustices et les noirceurs du monde.

Sylvie aime le vent qui se faufile partout, comment ne pas savourer d'aussi belles déclarations au fil des élans de sa plume orgasmique. Poète de l'espoir comme de la sensualité, Sylvie ne se limite cependant pas uniquement à l'écriture et à la publication de ses textes. Bien au contraire elle souhaite avant tout, que sa poésie aille à la rencontre du public. Loin de l'anonymat d'un livre, elle expose ses poésies et pour les mettre en valeur utilise un papier du Moulin Richard de Bas et des cadres dont la couleur est judicieusement choisie, elle démontre que la poésie peut être présente partout et à tout moment.

Elle marie également lors de ses expositions la musique qui joue un rôle essentiel. Pour Sylvie la poésie est une soeur de pensée, une douce confidente... libératrice poésie ! c'est d'ailleurs seulement ses sentiments profonds qui motivent sa plume. Sa passion, elle la vit au quotidien à travers son investissement au sein de la Fête du Livre, durant laquelle elle prête sa voix et sa plume dans divers cafés, dans des animations culturelles...

Pour Sylvie, la poésie est un art transcendant. Dune nature plutôt réservée, lorqu'elle déclame en public ses vers, ou ceux d'autrui, cela génère une assurance à toute épreuve. "Le poète a les pieds ici et les yeux ailleurs" (V. HUGO) pour François, le mari de Sylvie, cette citation définit parfaitement Sylvie.

Ainsi il aime voir cette lumière qui jaillit des yeux de sa poétesse de femme.